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7 septembre 2011 3 07 /09 /septembre /2011 16:35

 

EXAMEN DE CONSCIENCE POUR ENFANTS

(aide pour bien préparer la confession) Jesus-avec-un-enfant-et-la-colombe-de-l-Esprit-Saint--paro.gif

 

Mon enfant, la confession est chose sérieuse…

Les Sacrements étant les signes sacrés du Christ pour produire la grâce dans nos âmes et nous sanctifier, c’est Jésus qui, par le Sacrement de Pénitence, va se pencher sur ton âme pour la guérir et au besoin même lui redonner la vie de la grâce.

Aussi, dans l’accusation de tes péchés, sois bien franche et bien loyale.

 

 

A V A N T L A C O N F E S S I O N …

TU DOIS rechercher tes péchés. Pour t’aider, tu peux les écrire sur une feuille que tu supprimeras ensuite. Comme tu le sais, toute la loi chrétienne se résume en un mot : « Aimer », et notre Idéal c’est Jésus sur lequel nous devons nous modeler. Vois donc dans ta vie ce qui n’est pas en accord avec ton idéal de chrétien. Pour voir plus clair, récite un Notre Père et un Je vous salue, Marie.

 

 

1. – LE CHRÉTIEN ADOPTE DIEU ET L’AIME PLUS QUE TOUT

J’ai passé des journées sans penser à Dieu.

J’ai omis mes prières du matin et du soir.

Je les ai dites sans attention.

J’ai ri, causé, couru dans l’église.

J’ai rougi de paraître chrétien.

J’ai pris part à des conversations contre la religion.

Je me suis moqué des choses religieuses.

 

 

2. – LE CHRÉTIEN RESPECTE LE NOM DE DIEU ET LE JOUR QUI LUI EST CONSACRÉ

J’ai dit des jurons, des mots grossiers.

J’ai fait des serments pour des riens.

J’ai manqué à la messe du dimanche (dire si c’est par sa faute ― combien de fois ? ― Si on y est arrivé en retard, dire à quel moment et si c’est encore par sa faute).

J’ai profané le dimanche par un travail prolongé, des amusements ou des spectacles malsains.

 

 

3. – LE CHRÉTIEN AIME ET SUIT L’ÉGLISE

Je n’ai pas écouté Monsieur le Curé (ou Monsieur l’Abbé) ; je leur ai désobéi.

Je n’ai pas communié au temps de Pâques.

J’ai mal fait ou mal préparé mes confessions.

 

 

4. – LE CHRÉTIEN HONORE SES PARENTS ET SES CHEFS

J’ai désobéi à mes parents ― à mes professeurs (maîtres de l’école).

Je leur ai répondu grossièrement. ― Je me suis moqué d’eux.

J’ai boudé. ― J’ai fait du mauvais esprit.

 

 

5. – LE CHRÉTIEN AIME SON PROCHAIN ET LE RESPECTE DANS SA VIE, SON HONNEUR, SES BIENS

Jesus-t-aime.jpgJ’ai été méchant avec les autres. ― J’ai frappé.

J’ai gardé rancune. ― Je n’ai pas voulu pardonner.

J’ai souhaité du mal. ― Je me suis vengé.

J’ai inventé du mal sur les autres.

J’ai donné le mauvais exemple. ― J’ai entraîné les autres au mal.

J’ai dit du mal de mon prochain. Je l’ai jugé sans preuves suffisantes.

J’ai volé (dire si c’est : argent, objets, friandises, quelle quantité ?).

J’ai détérioré des choses qui n’étaient pas à moi.

J’ai triché au jeu, dans mes leçons, devoirs, examens.

J’ai été envieux, jaloux. Je me suis réjouis du mal arrivé aux autres.

J’ai désiré injustement le bien des autres.

 

6. – LE CHRÉTIEN EST PUR DANS SES PENSÉES, SES PAROLES, ET SES ACTES

J’ai eu de mauvaises pensées, de mauvais désirs volontaires.

J’ai regardé des choses inconvenantes.

J’ai fait de mauvaises actions (dire si c’est seul ou avec d’autres).

J’ai joué à des jeux indécents.

J’ai pris part à de mauvaises conversations.

J’ai fréquenté de mauvais camarades ; lu de mauvais livres ; assisté à de mauvais spectacles.

 

7. – LE CHRÉTIEN EST LOYAL ET DIT LA VÉRITE

J’ai été menteur, hypocrite.

J’ai accusé faussement mon prochain.

J’ai fait punir les autres par mes mensonges.

 

 

8. – LE CHRÉTIEN PRATIQUE LES VERTUS CHRÉTIENNES  Humilité :

J’ai manqué d’humilité en n’acceptant pas les remarques ; en étant entêté, susceptible.

J’ai cédé à des sentiments d’orgueil, de vanité.

Je me suis préféré aux autres.

Je les ai méprisés.

En face des tentations, je me suis cru plus fort que je n’étais et je n’ai pas eu recours aux moyens que l’on me conseillait.

Douceur : J’ai été impatient, violent, querelleur, taquin.

J’ai fait des colères

J’ai eu mauvais caractère.

J’ai mal supporté les autres.

Générosité : Je suis trop attaché à ce que je possède.

J’ai refusé de partager avec les autres.

J’ai eu un cœur dur.

J’ai refusé de faire plaisir, de rendre service.

Mortification : J’ai été gourmand en mangeant et buvant avec excès.

J’ai été paresseux : pour me lever, pour prier, faire mes devoirs, apprendre mes leçons.

 

 

9. – LE CHRÉTIEN EST FIDÈLE A SON DEVOIR D’ÉTAT

J’ai été distrait, peu appliqué dans mon travail d’écolier.

Je me suis amusé au lieu de travailler.

Je n’écoute pas en classe. Je n’ai pas le goût du travail bien fait.

 

MON ENFANT, TU CONNAIS MAINTENANT TES PÉCHÉS… Peut-être ils t’ont mérité les peines de l’Enfer !... Mais Jésus, qui est bon et qui a souffert au prix de son sang sa cruelle Passion pour les expier et racheter chacun d'entre nous, te les pardonnera si tu les regrettes sincèrement.

Va donc au confessionnal avec confiance et réconcilie-toi avec Jésus.

Comment-Jesus-voit-les-enfants 485705-M

 

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7 septembre 2011 3 07 /09 /septembre /2011 16:12

 

Comment bien préparer une confession ?

 

« Le soir de Pâques, le Seigneur Jésus se montra à ses Apôtres et leur dit : ’Recevez l’Esprit Saint. Ceux à qui vous remettrez les péchés, ils leur seront

remis. Ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus’ » ( Jn 20,22-23 ).

 

Chant "Miserere mei Deus" par l'ensemble vocal de Bourgogne

A quoi ça sert, la confession ?

"La confession est un rendez-vous d’amour avec Dieu. Dieu ne condamne jamais.

C’est sans doute une des caractéristiques les plus flagrantes de Jésus dans l’Evangile : à la différence des pharisiens, Il ne condamne JAMAIS les pécheurs. Au contraire, c’est à eux qu’Il offre en premier son amitié. La confession est donc d’abord une réconciliation entre Dieu et nous.

 

Mais il y a plus dans ce sacrement : Pour faire pousser une plante, le jardinier doit non seulement veiller à mettre les bons ingrédients (lumière, chaleur, eau...) mais il doit aussi retirer les mauvaises herbes. La confession c’est ça : retirer les mauvaises herbes qui font obstacles à notre épanouissement spirituel personnel. C’est le délicat travail du Christ dans notre âme.

 

Parfois, nous avons peur de nos péchés. Nous pensons que Dieu est comme nous... et donc nous avons du mal à réaliser qu’Il peut vraiment nous pardonner.

Au lieu d’être docile, nous « faisons de la résistance » à Dieu. C’est un peu comme si on serrait très fort un mauvais tesson de verre tranchant dans la paume de notre main... Ainsi sommes-nous quand nous avons peur de Dieu : remarquez comme cette réaction est absurde, car Dieu ne veut pas nous punir... mais nous soigner !

 

Comment se déroule une confession ?

Pour qu’une confession soit valide, il faut accomplir quelques conditions nécessaires, qui prouvent notre véritable désir de conversion :

 

 La contrition : Parmi les actes du pénitent, la contrition vient en premier lieu.

Elle est "une douleur de l’âme et une détestation du péché commis avec la résolution de ne plus pécher à l’avenir" Il convient de préparer la réception de ce sacrement par un examen de conscience fait à la lumière de la Parole de Dieu.

Les textes les plus adaptés à cet effet sont à chercher dans la catéchèse morale des Evangiles et des lettres apostoliques : Sermon sur la montagne, les enseignements apostoliques (cf. Rm 12-15 ; 1Co 12-13 ; Ga 5 ; Ep 4-6 ).

 

  La confession des péchés : La confession des péchés (l’aveu), même d’un point de vue simplement humain, nous libère et facilite notre réconciliation avec Dieu et les autres.

Par l’aveu, l’homme regarde en face les péchés dont il s’est rendu coupable ; il en assume la responsabilité et par là, il s’ouvre de nouveau à Dieu et à la communion de l’Eglise afin de rendre possible un nouvel avenir.

L’aveu au prêtre constitue une partie essentielle du sacrement de Pénitence : « Les pénitents doivent, dans la confession, énumérer tous les péchés mortels dont ils ont conscience après s’être examinés sérieusement, même si ces péchés sont très secrets. » Il ne faut pas cacher certaines fautes, car "si le malade rougit de découvrir sa plaie au médecin, la médecine ne soigne pas ce qu’elle ignore" (S. Jérôme, Eccl. 10,11).

L’Eglise recommande en outre de se confesser au moins une fois par mois (sinon une fois par an) et de ne pas recevoir l’eucharistie si on a conscience d’avoir commis un péché grave.

 

  La satisfaction : Beaucoup de péchés causent du tort au prochain. Il faut faire le possible pour le réparer (par exemple restituer des choses volées, rétablir la réputation de celui qui a été calomnié, compenser des blessures). La simple justice exige cela. Mais en plus, le péché blesse et affaiblit le pécheur lui-même, ainsi que ses relations avec Dieu et avec le prochain.

L’absolution enlève le péché, mais elle ne remédie pas à tous les désordres que le péché a causés. Relevé du péché, le pécheur doit encore recouvrer la pleine santé spirituelle. Il doit donc faire quelque chose de plus pour réparer ses péchés : il doit "satisfaire" de manière appropriée ou "expier" ses péchés. Cette satisfaction s’appelle aussi "pénitence".

 

Comment bien préparer sa confession ?

Pour nous aider à éclairer notre conscience, un bon examen s’impose. Voici un petit guide pour vous aider à vous examiner :

 

 1. Est-ce que Dieu est toujours à la première place dans ma vie ou suis-je comme ces hypocrites qui mettent toujours des conditions : « Que ta Volonté soit faite... à condition qu’elle corresponde à la mienne » ? Me suis-je confessé au moins une fois pendant l’année ? Ai respecté les jeûnes indiqués par l’Eglise ? Ai-je aidé l’Eglise dans ses besoins ?

 

 2. Ai-je manqué de respect à Dieu : dans l’Eglise, par exemple, me suis-je mal tenu ? Ai-je discuté avec des personnes pendant la Messe du dimanche ?

 

 3. Suis-je conscient que le dimanche ainsi que les jours de fête d’obligation appartiennent à Dieu ? Ai-je répondu à son appel en étant présent à la messe ? Me suis-je bien préparé pour recevoir la communion ?

 

 4. Ai-je manqué de respect ou d’amour envers mes parents ?

 

 5. Ai-je tué quelqu’un ? Ai-je commis ou encouragé quelqu’un à commettre un avortement ?

 

 6. Ai-je commis des actes impures seul (masturbation) ou avec un autre (fornication) ?

 

 7. Ai-je volé ? Ai-je retenu le bien d'un autre contre son gré ? Ai-je consciemment outrepassé des règles imposés par la sécurité et les services d’ordre de mon pays ?

 

 8. Ai-je menti ? Ai-je arrangé les choses à ma manière ? Ai-je caché la vérité ? Ai-je été hypocrite ?

 

 9. Ai-je souillé mon imagination et mon cœur avec des pensées impures ? Ai-je regardé des images obscènes ?

 

 10. Ai-je laissé grandir en moi de la jalousie pour les biens des autres ?

 

 § Sans oublier nos devoirs parentaux envers notre (nos) enfant (s) : comme le devoir de respect et d'amour envers lui, le devoir de donner le bon exemple, celui de donner une éducation saine et chrétienne (lui apprendre à connaître et aimer Dieu) ; celui de l'assister moralement et pour sa santé, etc..."

 

source : http://qe.catholique.org/confession/8080-comment-bien-preparer-une-confession

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7 septembre 2011 3 07 /09 /septembre /2011 15:45


"(4 septembre 2011) - Je n’ai découvert qu’hier cette information qui remonte au mois d’avril. Mais il n’est jamais trop tard pour bien faire. Et pour s’en… confesser. C’est bien le cas…

C’est une initiative, le "I Confess Contest", lancée par l’archidiocèse de New York et de deux de ses diocèses suffragants Brooklyn et Rockville Center : organiser un concours de vidéos réalisées par des jeunes et destinées à promouvoir la confession chez les lycéens et les jeunes adultes en vue de la journée de la réconciliation (New York’s All Day Confessions) du lundi 18 avril. La vidéo ne devait pas durer plus d’une minute, avoir un contenu orthodoxe, être artistique, signaler la journée du 18 avril et être mise en ligne sur You Tube. Plus de 200 groupes d’élèves ou d’étudiants de tous les États-Unis ont participé à ce concours doté d’un prix très confortable de 50 000 $ à partager entre le vidéaste et son établissement scolaire ou universitaire.

C’est Melinda Collins, une étudiante de la John Paul II the Great Catholic University de San Diego (Californie), qui a emporté le prix pour sa vidéo « Get Clean » (décrasse-toi), un film dont elle est aussi l’interprète.

Voici cette vidéo. Qu’en pensez-vous ?"

 

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6 septembre 2011 2 06 /09 /septembre /2011 21:16

 

Cantique des trois jeunes gens dans la fournaise

Livre de Daniel (3:51-90)



 

« Pour mieux goûter la beauté de cet hymne à la Création, il est bon de bien le situer historiquement :

Le roi Nabuchodonosor, roi de Babylone, avait, parmi ses prisonniers Israëlites, le jeune prophète Daniel, et ses trois amis, Ananias, Misaël et Azarias.

Un jour, le roi se fit faire une belle statue de lui-même, en or. Et il ordonna à tous ses sujets de venir l'adorer.

Les jeunes Israëlites, fidèles au vrai Dieu, s'y refusèrent, bien sûr.

Dénoncés, ils paraissèrent devant le Roi, furieux qu'on osa lui résister. Il les menaça de les faire jeter dans un feu très violent s'ils ne se prosternent pas devant la statue pour l'adorer.

Alors les trois jeunes gens répondirent :

"Notre Dieu, le Dieu que nous adorons, pourra certainement nous sauver des flammes de la fournaise, et nous délivrer, ô Roi, d'entre tes mains.

Si pourtant Il ne veut pas le faire, nous te déclarons néanmoins, ô Roi, que nous ne voulons pas adorer ta statue, et que nous n'honorerons pas tes dieux."

Nabuchodonosor fut rempli d'une telle fureur que son visage changea : ses yeux, en regardant les trois jeunes gens, lançaient comme des flammes. Il ordonna que le feu de la fournaise soit sept fois plus ardent qu'il n'était, et qu'on y jette les jeunes gens.

Les soldats qui les y jetèrent tombèrent aussitôt morts, suffoqués et brûlés.

Les liens qui attachaient les jeunes prisonniers furent consumés en un clin d'oeil ; mais eux se promenaient dans la fournaise, en chantant les louanges du Seigneur.

L'Ange du Seigneur était descendu près d'eux ; il écartait les flammes, et il avait formé au milieu de la fournaise un vent doux et frais, de sorte que la chaleur ne les incommoda pas un seul instant. Pourtant le feu était si violent, et la flamme montait si haut qu'elle brûla tous ceux qui était autour de l'ouverture.

Mais les jeunes Israëlites, eux, chantaient leur beau cantique à la louange de Dieu : leur Dieu, le seul vrai Dieu.

 

 

Le cantique

 Ce cantique est composé de deux parties :

La première partie (des versets 52 à 57) est plus directement un chant d'action de grâces qui jaillit du coeur des trois jeunes gens, pour remercier le Seigneur de les avoir protégés par un tel miracle.

On la récite à la prière des Laudes, (Liturgie des Heures), les dimanches des semaines II et IV.
La deuxième partie (des versets 57 à 82) est consacrée à la louange de Dieu dans sa création.
On la récite à la prière des Laudes, les dimanches des semaines I et III.

 

Première partie  : Chant d'action de grâces

 

Béni sois-Tu, Seigneur, Dieu de nos pères,

Loué sois-Tu, éxalté éternellement !

Béni soit le Nom très saint de ta gloire :

Loué sois-Tu, éxalté éternellement !

Béni sois-Tu dans ton saint temple de gloire :

Chanté, glorifié par-dessus tout éternellement !

Béni sois-Tu, sur le trône de ton royaume :

Chanté, glorifié par-dessus tout éternellement !

Béni sois-Tu,Toi qui sondes les abîmes, qui sièges au-dessus des chérubins :

Loué, chanté par-dessus tout éternellement !

Béni sois-Tu, dans le firmament du ciel :

Chanté, glorifié éternellement !

 

Deuxième partie : Louange de Dieu dans sa création

 

Cette prière de louange est longue : si on veut l'utiliser pour la prière familiale, il est très possible de n'en prendre que quelques versets, selon les circonstances, l'âge des enfants et leur maturité spirituelle.

Il est conseillé d'alterner les voix : un enfant, par exemple, disant la première ligne, le reste de la famille répondant le refrain.

 

Vous toutes, oeuvres du Seigneur, bénissez le Seigneur :

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Anges du Seigneur, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

 Ô cieux, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous, toutes les eaux au-dessus du ciel, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous, toutes les puissances, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous, le soleil et la lune, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous, astres du ciel, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous toutes, pluies et rosées, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous tous, vents et tempêtes, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous, feu et ardeur, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous, froidure et ardeur, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous, rosée et giboulées, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous, gel et froidure, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous, glaces et neiges, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous, nuits et jours, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous, lumière et ténèbres, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous, éclairs et nuées, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Que la terre bénisse le Seigneur,

Qu'elle Le Chante et L'éxalte éternellement !

Ô vous, montagnes et collines, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous, toutes choses germant sur la terre, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous, sources, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous, mers, océans et rivières, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous baleines et tout ce qui se meut dans les eaux, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous tous, les oiseaux du ciel, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous tous, bêtes et bestiaux, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous, enfants des hommes, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô Israël, bénis le Seigneur,

Chante-Le, éxalte-Le éternellement !

Ô vous, prêtres, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous, ses serviteurs, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous, esprits et âmes des justes, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ô vous, saints et humbles de coeur, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Ananias, Azarias et Misaël, bénissez le Seigneur,

Chantez-Le, éxaltez-Le éternellement !

Car Il nous a délivrés des enfers,

Il nous a arrachés de la main de la mort,

Il nous a délivrés de la fournaise de flamme ardente,

Il nous a tirés du milieu de la flamme !

Rendez grâces au Seigneur, car Il est bon,

Car Son amour est éternel.

Vous tous qui le craignez, bénissez le Seigneur Dieu des dieux,

Chantez-Le, rendez-Lui grâces,

Car Son amour est éternel.

A la prière des laudes, ce cantique se termine juste après le verset "Ananias, Azarias et Misaël, ...", par la doxologie suivante en l'honneur de la Sainte Trinité :

 

Bénissons le Père, le Fils et  l'Esprit Saint :

à Lui, haute gloire, louange éternelle !

Béni sois-Tu, Seigneur, au firmament du ciel :

à Toi, haute gloire, louange éternelle ! »

 

(source : La Bible de Jérusalem – Editions Pocket 1998 & http://www.prierenfamille.com/Fiche.php?Id=605 )

 

 

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5 septembre 2011 1 05 /09 /septembre /2011 22:39

 Amour de Dieu

Frère Elie : le récit de sa vocation religieuse

Mais quelle est donc cette «maladie»?

 

« Frère Elie Cataldo est un homme de petite stature, portant souvent une barbichette à peine marquée sur un visage tout en rondeur, avec deux yeux vifs et scrutateurs.

En mars 2004, il nous a accueillis dans son couvent en restauration et il a accepté de répondre à mes questions. »

« Frère Elie, quelles sont vos origines?
Mes parents Cataldo avaient déjà accueilli cinq filles et deux garçons quand je suis né, le 20 février 1972, à Francavilla Fontana. Ils étaient loin de se douter des desseins particuliers de Dieu sur moi, et ils mettront longtemps avant de comprendre pourquoi j’étais “malade” à chaque Carême au point de ne pouvoir manger.
Dans cette belle campagne des Pouilles, au milieu de ma grande famille chrétienne de cultivateurs pauvres mais pleins d’amour, j’ai eu une enfance heureuse. Mon père m’a enseigné tous les travaux de la terre depuis tout petit. En troisième élémentaire, l’après-midi, j’accompagnais mon frère et nous allions sarcler la vigne.
Votre famille chrétienne vous a donc éveillé très tôt à la foi?
Chaque dimanche, j’allais à la messe et je servais comme enfant de chœur. J’ai rencontré le Seigneur très tôt; je L’avais dans le cœur. Trois fois par semaines, avec le groupe des jeunes garçons, nous nous retrouvions à l’oratoire paroissial. Nous étions toujours une dizaine à taper dans le ballon, à jouer à colin-maillard... Ensuite chacun a suivi sa route… la drogue pour certains… Je ne pouvais savoir, quant à moi, ce que le Seigneur m’avait préparé.
Marie Jésus et AngesVous souvenez-vous de votre première expérience spirituelle marquante?
A l’âge de sept ans, je jouais avec mes cousins et neveux. Je suis allé me cacher dans la chambre de mes parents quand je suis resté ébloui: j’ai vu des anges qui tournaient dans une intense lumière; je les regardais tourner sans cesse. Alors, je suis allé appeler maman qui était en train de faire du pain, pour qu’elle aussi les voie. Mais elle m’a donné une petite frappe à la tête en me disant: «Mais qu’est-ce que tu vois, povero!»
Durant la période de carême, je restais toujours au lit. J’étais toujours malade, comme encore maintenant. Mes parents me portaient à l’hôpital, et on me mettait sous perfusion pendant ces quarante jours. Ils disaient que j’étais mal nourri. Mais ni ma mère ni moi-même ne pouvions savoir de quoi il s’agissait. Plus tard, à l’âge de treize ans, j’ai même été sur le point de mourir.
Cette “maladie” était-elle permanente?
Non, le Samedi-Saint au soir, après la visite de l’ange, j’étais déjà bien. Et le dimanche j’étais tout à fait guéri.
Jusqu’à l’année suivante?
De nouveau je tombais malade à l’entrée du Carême. Je souffrais des mains et des pieds avec de la fièvre. Ni maman ni personne ne parvenait à saisir ce qui m’arrivait. Personne n’en a eu la moindre idée. Les docteurs eux-mêmes ne réussissaient pas à comprendre ce que j’avais. Je ne parlais pas, j’étais mal, je ne mangeais pas et je
passais 40 jours sous perfusions. Adolescent, je pensais avoir une forme de grippe.
C’est mystérieux, ça!
Mystérieux, mais vrai. Maman qui vit toujours en témoigne. Maintenant elle dit: «Voilà pourquoi, quand on allait chez quelques spécialistes, qu’on te portait ici et là, ils disaient: ce garçon est sain, il n’est pas malade. Mais personne ne parvenait à comprendre la raison de cette “maladie”».
La manière de faire de Dieu est étonnante!
Oui, et quand j’ai découvert ce que c’était, j’étais au noviciat. A l’âge de 12 ans, je voulais entrer au couvent, je l’ai annoncé aux frères capucins. Les frères ont rendu visite à ma famille, mais ma mère n’a pas voulu que je parte. J’ai arrêté l’école à 15 ans et j’ai
travaillé dans les champs avec ma famille. Puis j’ai fait une requête pour un emploi à la poste. J’ai passé un concours et, après une période d’essais, ils m’ont embauché à Milan où j’avais mon oncle; je n’étais pas seul. Plus tard, je me suis logé seul. Chaque jour, à 5 heures, j’allais à l’église pour prier le chapelet et suivre la messe.
A la poste, il manquait un caissier. J’ai repassé un concours, et ils m’ont mis au guichet, pour les paiements et recouvrements… Je me souviens qu’à cause d’une erreur, j’ai dû mettre 100’000 lires de ma poche!
De fait, durant ces trois années où je travaillais à la poste, pendant le Carême, j’étais mal, je tombais à terre, on me conduisait aux urgences. Une fois le médecin m’a dit que j’avais une lésion cérébrale, mais à midi, la lésion avait disparu! Je ne parvenais plus à
travailler. «Mais que t’arrive-t-il?», me disait-on. Je me souviens qu’un jour où j’étais en train de conduire, j’ai senti que la tête me tournait… Et j’ai fait les 40 jours du Carême à l’hôpital sous perfusions.
Un jour de 1985, le directeur me dit: «La postière est malade, porte un paquet au couvent des Frères capucins à Milan. J’y suis allé et j’ai trouvé les Frères. Pour moi cela a été une grande joie quand ils m’ont ouvert leur porte; il me semblait que j’étais chez moi. De fait, il y avait en moi une attente que j’ignorais. Le silence, l’accueil… deux heures sont vite passées. Vers 17 h, je suis rentré. Le directeur était furieux! Mais moi j’étais heureux parce que j’avais trouvé ce que je n’avais pu avoir quand j’étais enfant. Cependant, je ne me sentais pas prêt pour entrer, mais je priais.

Dans un premier temps, je suis entré comme familier et, pendant six mois, j’ai réfléchi et j’ai vu que j’avais l’appel intérieur. Alors j’ai fait deux années de postulat, puis douze années de couvent avec des vœux simples que je devais renouveler chaque année.
Durant le noviciat, je ne comprenais toujours pas. Mais j’avais le corps couvert de gros bleus, comme quand on te frappe. Je me demandais si je ne forçais pas trop sur les mains. Mais déjà enfant, sitôt les Cendres, j’avais mal aux mains… ainsi qu’aux cous-de-pied. C’est comme du feu. Voyez quand je fais comme ça (le frère appuie sur son poignet), c’est tout de suite noir. La coupure part d’ici à là.
Chaque jeudi soir, les plaies s’ouvrent et le vendredi, elles sont toutes ouvertes. Et le dimanche, elles sont bien refermées. Après le noviciat, je ne me sentais pas bien, cela me faisait mal, ça me brûlait. Et l’infirmier me disait: «Mais quelle chose étrange tu
as toi!» Jésus photo prise par Frère Elie
Vous n’aviez pas encore compris?
Moi, je pensais que c’était le feu de saint Antoine.
C’est-à-dire?
Ce sont des plaies avec de l’eau qui me brûlaient. Cela me faisait mal à me rendre fou; et je pleurais tellement je souffrais.

Finalement on a appelé une dame, une amie, Mamma Anna, qui s’est écriée en arrivant: «Mais qu’est-ce que tu as? tu me rends folle!» J’ai retiré mon vêtement et j’ai dit: «regarde là et là ce que j’ai… je n’arrive pas à comprendre.» Je n’avais même plus la force de prendre une bouteille à la main et de tourner le poignet pour verser, tellement cela me faisait mal… Elle me conseilla d’aller voir un médecin, tandis que mon ami, le Frère infirmier, murmura: «Espérons que ce ne sont pas les choses auxquelles je pense!» Je lui demande: «Mais à quoi penses-tu? Je n’en viendrais pas à bout?»
Il me répond: «Non, non, espérons.»

Trois jours plus tard, je le croise dans le corridor, je l’arrête et lui dis: «Ecoute, Philippe, dis-moi la vérité, qu’est-ce que j’ai? Que penses-tu?» Je pensais, moi, à une maladie comme une tumeur ou à ce feu de saint Antoine. Et lui me dit: «Ce sont les stigmates!» Quand il m’a dit cela, il m’a rendu confus: «Mais comment? Cela, des stigmates? Cela, moi je l’ai depuis toujours!» «Cela, ce sont des stigmates!» Je me suis dit: «Celui-là, il est fou!» Et il me dit: «Va voir ton Père spirituel, va lui parler.» Je ne voulais pas de ça, je ne le croyais pas, j’ai combattu. Voir le Père spirituel? Mais qu’est-ce que je devais lui dire? Je devais commencer une ouverture et lui parler. Je voulais entamer le dialogue. Mais je ne pouvais pas arriver en disant: «Regarde, ce que j’ai là!» Je tournais et cherchais à lui parler de ça. Alors je lui ai demandé: «Padre Natale, vous y croyez vous, aux apparitions?» Et lui m’a répondu: «Que cherches-tu! Tu ne dois pas croire à ces
choses-là!» D’entendre cela, le monde m’est tombé dessus! Je ne me suis pas senti compris.
Le Frère Serge, un confrère qui maintenant est devenu prêtre diocésain à Gênes… m’a aidé en tout et pour tout. Il me disait de rester calme, de prier...
Je ne l’ai pas accepté tout de suite, j’ai lutté presque une année avant de finir par dire:
«Si c’est ce que veut le Seigneur, je l’accepte.»
Au monastère, quand je m’évanouissais et tombais à terre, ils me prenaient, me tiraient et me laissaient à terre dans ma chambre. Je pouvais rester trois jours ainsi sans avoir la force de me relever.
Votre frère infirmier qui a diagnostiqué vos stigmates n’a-t-il rien dit?
Non, il est rentré à Gênes, parce qu’il était de cette province. J’étais dans la province Lombarde, qui recevait des frères des diverses provinces pour leur formation. Mais ensuite, ce frère a donné son témoignage... Finalement, ce sont les autres qui m’ont fait
comprendre que c’étaient des stigmates.
Donc le Seigneur ne vous a pas fait prévenir, comme par exemple pour Marthe Robin, quand sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus est venue dans sa chambre l’avertir…
Moi, je voyais la Madone.
A ce moment?
Non, je veux dire même quand j’étais petit et que je jouais avec mes amis, et mes cousins, je voyais la Madone, et je le leur disais. Mais mes cousins prenaient toujours ça à la rigolade, comme un jeu. Cependant je les emmenais prier à l’église.
Donc vous avez toujours eu ces visites.
Oui.
Et vos parents vous croyaient?
Non, ils disaient: «celui-là, il va toujours à l’église, c’est son truc…»
Mais vous, vous voyiez la Madone.Marie et l'Enfant Jésus
Oui, quand je la voyais, elle me souriait et me faisait prier; elle me disait: «Prions» et je priais. Après, elle me disait: «Prions pour tes amis. C’est bien que tu les portes.»
Mes cousins venaient avec moi et je leur disais: «Je viens avec vous, mais vous, venez d’abord avec moi prier à l’église.»
La Madone, vous souvenez-vous de la première fois que vous l’avez vue?
Oui, bien sûr, je me souviens que nous jouions à cache-cache ; je suis tombé du toit, et elle m’a donné la main et elle m’a dit: «Fais attention! — Puis elle ajouta, après— viens me retrouver, nous devons prier.»
Et qu’avez-vous pensé de cette rencontre inhabituelle?
Comme mes amis ne me croyaient pas, je ne disais plus rien à personne et je me cachais pour prier.
Et votre méditation personnelle?
C’était au jour le jour, elle me faisait marcher de l’avant.
Parce qu’elle est venue souvent?
Oui, oui, je la voyais tous les jeudis.
Comme une enfant?
Je la voyais comme… (où est mon sac?) J’ai une photo de la Madone, qui m’est personnelle. Après l’interview, je te la ferai voir (mais après, nous avons oublié!).
Comment est-elle?
Très belle, elle était très heureuse, toujours souriante
Donc la Madone vous a accompagné...
Elle m’enseignait à prier, à faire mon acte de contrition, à prier pour les autres, à prier pour tous ceux qui ne savent pas prier, à m’extraire et à me retirer seul, dans le silence; elle m’enseignait à réfléchir, elle m’enseignait à donner un sourire à quelqu’un qui
souffre, à le toucher pour lui faire comprendre qu’il n’est pas seul.
Elle vous donnait aussi des conseils pratiques, fais ceci, pas cela…?
Non. Uniquement des conseils sur la prière.
Et quand vous faisiez quelque chose de mal?
Elle me tirait les oreilles et me disait des fois que je ne devais pas faire ces choses, que je ne devais pas raconter de mensonges. Je lui disais que ma maman ne me croyait pas du tout. «Cela ne fait rien! Même si ta maman ne te croit pas, ta maman ne sait pas. Et toi ne lui dis rien. Mais, prie, parce que oui, un jour, ta maman comprendra.»
Alors je n’ai plus rien dis, d’ailleurs je suis secret. Si je ne dois rien dire, je ne dis absolument rien.
Donc vous avez eu dès l’enfance une familiarité régulière avec la Madone?
Oui.
Elle vous guide toujours?

Toujours!
De quelle façon la voyez-vous, sous quel mode, c’est une vision…?
Et vous? Comment voyez-vous une personne quand vous lui prenez la main? Je la vois comme je vous vois ! C’est ça. Comme je vous vois.
Et vous avez aussi des locutions?
Oui. Seulement avec la Madone, ou aussi avec Jésus…
Quelquefois mon ange se présente, d’autres fois, c’est le Seigneur, d’autres fois, la Madone… »

 

 

(source : http://www.parvis.ch/stella_maris/Sm_418/elie.html)

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5 septembre 2011 1 05 /09 /septembre /2011 21:52

"Prière des français"

 

dictée par Jésus à Marcel Van :

 

Jésus :dvd_marcel_van.jpg

 

 "Petit enfant de mon Amour, écoute, je vais te dicter une prière,

Seigneur Jésus, aie compassion de la France, daigne l'étreindre dansMarcel-Van.jpg

ton Amour et lui en montrer toute la tendresse. Fais que, remplie

d'Amour pour toi, elle contribue à te faire aimer de toutes les nations de

la terre.

Ô Amour de Jésus, nous prenons ici l'engagement de te resterfidèles et de travailler d'un coeur ardent à répandre ton Règne dans tout l'univers.

 

 

 

 

Amen

Marcel Van (1928-1945)

 

 

Marcel Van est né en 1928 près de Hanoï (Vietnam) ; souhaitant devenir prêtre il entre dans une congrégation française, en 1945 il est arrêté par les communistes, il meurt en prison le 10 juillet 1959. Cette prière lui a été donnée par le Christ lors d’une apparition...

et cette prière, je veux que les Français me la récitent."

  

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5 septembre 2011 1 05 /09 /septembre /2011 21:33

Frère Élie http://www.fra-elia.com/

Frère Elie est né en 1962 dans les Pouilles, en Italie. C'est à partir de 7 ans qu'il reçoit des communications surnaturelles et qu'il commence à voir les anges et qu'apparait Lechitiel, l'ange gardien qui le suit toujours depuis ce jour et le guide dans sa mission auprès des hommes.

Comme Saint François et Saint Padre Pio, le Seigneur s'est intimement uni à lui à l'âge de 27 ans par les stigmates et par toute une vie mystique remplie de nombreux charismes (guérisons, conversions, locutions, bilocations, etc.) et l'assistance continue des anges et des saints. ...

frère Elie 02
Frère Elie n'est pas prêtre. Il est religieux avec les voeux.
Il a obtenu de l'Eglise, l'autorisation de créer sa propre congrégation "Les Apôtres de Dieu" dont le but est de prier et d'aider particulièrement les familles et les jeunes en difficulté.
Depuis juin 2003, il s'est installé dans le couvent de San Berardo qui lui a été confié par l'Evêque de Terni et Narni, Mgr. Vincent Paglia. Il se trouve sur la paroisse de Calvi en Ombrie. http://www.fra-elia.com

 LIRE LA SUITE SUR LE SITE  : http://vincent.detarle.perso.sfr.fr/catho/frereli.htm)

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5 septembre 2011 1 05 /09 /septembre /2011 21:24

 

Frère Elie, une âme choisie pour l'Amour de Dieu sur terre

(source : http://www.parvis.ch/cgi-bin/cgiip.exe/WService=wsbroker1/fiche.w?lang=2&id=F1174)

 frère Elie 01

«Elia Cataldo, Frère Elie en religion, est né en 1962 au sein d'une famille paysanne des Pouilles, dans l'extrême sud de l'Italie. Dès l'enfance il bénéficie de communications surnaturelles.

A l'âge de 7 ans, il a la surprise de «voir des anges». Il le confie tranquillement à sa mère, en train de pétrir du pain, qui lui administre une bonne paire de gifles. C'était la première préfiguration des stigmates et autres croix qui apparurent plus tard avec les joies du Seigneur..

Durant le carême, il ne peut plus manger; ni sa famille, ni les médecins ne comprennent pourquoi.

Après un emploi dans les Postes, il entre chez les frères capucins. Des parfums célestes l'environnent.

Quand, à 27 ans, apparaissent les stigmates, Frère Elie n'en veut pas, il quitte le couvent, en espérant qu'elles cesseront... Mais non! Il retourne alors dans un monastère pour vérifier sa vocation religieuse. Finalement, il comprend et accepte sa vocation: il sera «Apôtre de Dieu» dans le monde et pour le monde. Il poursuivra, à sa manière, la mission de Padre Pio.
Chaque vendredi les souffrances de Frère Elie se font plus fortes et chaque année, durant la Semaine Sainte, il souffre la Passion, meurt et renaît comme le Christ voilà 2000 ans.
Guidé par son ange gardien, Frère Elie possède de nombreux dons charismatiques, notamment celui d'exorciste.

Lors d'une vision, il lui est montré une femme qui l'aidera de façon déterminante pour réaliser les desseins de Dieu. C'est cette femme, Fiorella Turolli, auteur de ce premier ouvrage, qui nous fait partager ses découvertes et les expériences extraordinaires vécues auprès de cet homme aujourd'hui devenu Apôtre de Dieu.

 

Frère Elie a fondé de la Congrégation des Apôtres de Dieu.

(source : http://www.parvis.ch/stella_maris/sm_421/elie.html) : la recherche d'un couvent, au travers des rencontres et des premières missions, émaillées de faits miraculeux corroborés par de nombreux témoignages.

La vie de Frère Elie est une manifestation concrète de l'amour de Dieu.

A notre époque, le raz-de-marée matérialiste et agnostique brise la foi de toute part. Les signes du Ciel sont particulièrement utiles dans cette asphyxie pour restaurer chez les hommes le sens de Dieu et du spirituel... (Abbé René Laurentin)

Au cours de la Semaine Sainte 2003, Frère Elie a fait l'objet d'études et de contrôles de la part du Professeur Margnelli, expert en phénomènes surnaturels. Ses recherches ont été présentées à la télévision italienne dans l'émission «Miracoli».

 

Beaucoup, voyant Frère Elie parler «seul», lui demandaient: «A qui parles-tu? Que vois-tu?...» Frère Elie, las de ces demandes, en référa à Jésus. Jésus l'envoya photographier un mur blanc dans une église. Frère Elie y prit 36 photos sur un mur blanc. Toutes les photos sortirent blanches, à l'exception de cet unique cliché.

Jésus

« Dans l'épreuve, je crois, je crois que Tu nous guides,
même quand Tu ne te fais pas sentir, pour nous mettre à l'épreuve,
pour T'aimer d'avantage.

Je crois en Ton immense amour, qui nous illumine
et nous fait cheminer vers Toi, comme il Te plaît.
Je crois que, même dans une épreuve plus difficile,
Tu nous soutiens avec amour et douceur

pour nous porter à Toi, comme il Te plaît.
Je crois aussi que dans le silence, Tu nous fais d'avantage grandir.
Je crois dans l'amitié que Tu nous offre.
Elle fortifie notre esprit en nous rendant plus fort dans la foi.
Je crois que ce jour-là, la rencontre avec toi sera tout.
Elle fera fleurir notre vie,

parce que nous serons en toi et toi en nous. »
 

Frère Elie des Apôtres de Dieu


 

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5 septembre 2011 1 05 /09 /septembre /2011 20:16

 

Frère Elie des Apôtres de Dieu

 

Pèlerin dans le monde pour l’amour de Dieufrere-Elie-charismes-et-stigmates.jpg

 

STELLA MARIS 419 Novembre 2005 pp. 37-ss

 

« Nous poursuivons notre entretien de mars 2004 avec Frère Elie Cataldo, fondateur de la Congrégation des Apôtres de Dieu. » (cf. SM 418)

(FT)

« Vos stigmates s’ouvrent-ils chaque jeudi? / — Oui.

La Madone vient-elle vous visiter auparavant? / — La Madone vient le jeudi, nous prions, et quand elle s’en va, la souffrance arrive et voilà. Elle me donne davantage de force pour supporter la souffrance.

Cette souffrance, vous la portez ou vous la supportez? / — Je la porte, je l’ai sur le dos, toujours. Pour vous dire la souffrance, vous devriez être là et me regarder pendant cinq minutes. Alors vous sauriez ce qu’est la souffrance, sans que j’aie besoin de vous le dire.

Certains mystiques aspirent à communier aux souffrances du Christ pour réparer. / — Moi, la souffrance, je ne la désire pas !

Que peut-on dire à ceux qui souffreCouvent-de-frere-Elie.jpgnt? Certains disent qu’ils ne faut rien dire? /

(Silence) / Ce n’est pas vrai qu’il ne faut rien dire à la personne qui souffre. Vous devez donner de suite une réponse forte d’amour à la personne qui souffre, une réponse nette, qui doit la mettre à son aise. Si elle a une tumeur, vous ne pouvez pas dire: «Vous allez mourir!», parce que s’il y a vie, il y a espérance. Aujourd’hui, la tumeur peut guérir, à l’inverse de l’orgueil, qui ne te fait jamais mourir, mais que tu dois faire mourir pour avoir la Vie.

A ceux qui souffrent beaucoup… / — Le Seigneur me donne immédiatement une réponse dans le coeur. Il me parle et moi je communique immédiatement ce qu’il me transmet.

C’est une réponse qui se fait dans le coeur? / — Oui, et je la transmets aussitôt.

Vous l’entendez comme vous entendez ma voix? / — Oui.

C’est continuel? / — Il y a beaucoup de malades, et quand je fais trois jours de mission, il y a des centaines de personnes. Mais la réponse est pour tous. Il n’y a personne d’exclus. Il y a une réponse juste pour chaque personne, une parole appropriée.

Quand une personne fait une dépression… / — Si elle est atteinte de dépression, vous devez dire: Te souviens-tu, quand le Seigneur a fait sortir ses enfants d’Egypte ? Avec Moïse, il a fait passer toutes les personnes… Et le Seigneur a dit: «Je renverserai cheval et cavalier dans les eaux de la mer. Que celui qui est fort et courageux vienne sur l’autre rive et je lui tiendrai la main.» Ce qui veut dire que celui qui fait de la dépression n’est pas malade, c’est quelqu’un qui pense aux choses anciennes et qui les met au présent. Si au lieu de penser au passé il vient à penser au présent, tout se met en place. Sa maladie, c’est de se mettre à penser au passé.

A Zoug (Suisse), on vous a présenté un enfant handicapé profond dans une chaise roulante. / — J’ai dit aux parents qu’ils essayent d’être forts et de lui rester proches. Et qu’ils lui donnent la force... Qu’ils soient plus tranquilles et plus sereins, qu’ils montrent beaucoup de patience avec leur enfant, parce qu’avec le temps, pour moi, ça s’arrangera. Je suis sûr que le Seigneur travaille pour les enfants, parce que ce sont ses enfants. Il faut de la patience, et après il arrivera quelque chose pour Matteo. Je le rappelle toujours dans mes prières, mais eux doivent

aussi prier pour lui. Et moi je suis sûr qu’avec la croissance, ça s’arrangera et se mettra en place. (Prière du Frère Elie pour cet enfant.)

Vous avez touché sa tête? / — Oui, j’ai touché sa tête.

Dans vos mains, il y a aussi un don naturel, non? / — Non, ce n’est pas moi; ce n’est pas moi qui veux mettre mes mains, mais de mon coeur surgit cette parole: «Touche-le!». Je reçois des paroles, mais pas d’images ni de visions. Parfois, je ne touche pas la tête, mais la colonne vertébrale. Je suis en train de faire une bénédiction sur une personne et puis je dois la toucher comme ça, non parce que je veux, moi, la toucher, mais parce qu’il y a quelqu’un qui me dit de la toucher ainsi.

Fiorella Turolli parle dans son livre de votre passage chez des experts américains et italiens (1), pour étudier l’énergie qui émane de vos mains. Ils ont dit que vous aviez la puissance la plus forte qu’ils aient enregistrée… / —

Cette aura n’est pas de moi; elle vient de Dieu.

Sentez-vous quelque chose qui sort de vous, comme Jésus quand la femme toucha son vêtement? / — Oui, je sens l’énergie qui passe.

Dans les cas de guérison, recevez-vous une parole? / — Quand une personne vient pour convertir son coeur, qu’elle sait que la vie est un passage, qu’elle sait aimer et qu’elle sait pardonner (et dans pardonner il y a oublier et aller de l’avant), et qu’elle se convertit et qu’elle oublie et progresse, à ce moment, le Seigneur l’a déjà guérie. Mais si elle ne pardonne pas et n’oublie pas, alors ils ne peuvent rien faire. Donc le pardon est une clef centrale et unique de la vie.frere-Elie-La-Divine-Providence.jpg

Et vous savez le résultat de votre action? / — Oui, je le connais, mais je ne peux pas le dire.

Vos stigmates gardent toujours la même forme. Quand elles s’ouvrent, c’est de part et d’autre des poignets et des pieds? / — Oui.

Et sur le côté? / — N’avez-vous pas vu les photos dans le livre?

Dans la souffrance, êtes-vous toujours conscient? / — Non, pas toujours; ces jours-là je les passe au lit. Par exemple, ces jours (en carême), je vais m’allonger, je n’ai pas la force de me lever ni de rien. Je reste dans la chambre, c’est tout. Je les vis en communion avec le Seigneur, en même temps qu’en communion avec mes frères et soeurs.

Et quand vous êtes souffrant, vous ne pouvez aller à la messe? / — Je vais à la messe tous les jours, dans des lieux que je ne connais pas, y compris dans d’autres pays avec d’autres langues. Le corps reste là…, mais les autres me voient à la messe.

Et la communion, vous la recevez? / — L’ange me l’apporte.

Quelle est la grâce de la communion? / — Dieu veut venir habiter en nous qui sommes son temple par le sacrement de l’Eucharistie. La communion purifie le corps, le temple de Dieu. Le Seigneur entre en nous, il est avec nous.

Dans l’eucharistie, recevez-vous un soutien spécial pour porter les souffrances? /

Un soutien moral de la part du Seigneur. Il me donne la force de porter, parce que ces trois jours où je suis mal, je ne réussis plus à rien faire. Mais il me soutient ; mon ange arrive, il me prend la main et me dit: «Allons!» et on s’en va. Mais mon corps reste dans le lit ! frere-Elie-02.jpg

Ici, nous perdons pied! Nous, nous n’avons pas cette expérience, vous pouvez expliquer? / — Je peux vous dire que pour moi, c’est une chose belle, parce que je vais hors de mon corps, je vais ici et là, où ils me disent d’aller, et je suis toujours accompagné de quelqu’un. On va prier pour des personnes qui souffrent, on va à l’hôpital, on va secourir d’autres personnes, des missions. Et après, quand je reviens à moi, j’ai de la peine à m’habituer. Par exemple, je suis debout. Si j’avais mangé la pasta et ce que vous, vous avez mangé, j’aurais été malade. J’ai

mangé du pain grillé, c’est tout. Depuis cette année (2004) je mange du pain, de l’eau, et de la salade et ça va bien ! Ceci, durant tout le carême. Ensuite, je mange normalement. Et quand je mange le pain je sens le parfum dans ma bouche, toujours le même.

Beaucoup sentent un parfum auprès de vous. / — Les parfums viennent de l’air, ils ne viennent pas de moi. Je ne sais pas moi-même comment cela se produit.

Vous les sentez aussi? / — Oui, je les sens. Et même je les bois et ce que je mange, c’est tout parfumé !

Pourquoi ce jeûne de carême? / — Une nuit de carême, j’ai demandé à mon Ange pourquoi est-ce que je jeûnais?… il m’a demandé si j’avais faim. — “Non”. “Ceci est une preuve pour te montrer que tu n’as faim que de l’amour de Dieu qui tous les jours se manifeste près de toi. Comprends-tu?”

— “Et maintenant, qu’est-ce qui m’attend?” “Ne crains pas, tout te sera indiqué. Tu auras la force de l’Esprit Saint qui descendra sur toi et tu en seras le témoin”.

L’expérience d’aller hors de son corps, c’est comme d’être au Ciel? / — Tu te sens léger, tu es une plume quand tu t’en vas. Il n’y a plus de distance ni de temps. C’est une dimension totalement diverse (différente) de celle d’ici-bas.

En “volant comme une plume” vous êtes allé à Rome? / — Oui, pour prier pour le Saint-Père Jean-Paul II, en bilocation.

Donc il vous connaît? / — Oui, il me connaît, mais dans la prière. Il ne me connaît pas parce qu’ils mettent des verrous pour ceux qui viennent. On ne te laisse pas (y) aller.

Et la communication? / — Elle se fait avec les yeux, l’âme a des yeux.

Mais les anges? / — Ils ont aussi des yeux.

Donc il n’est pas besoin de parler? / — Si je viens à parler, ils me répondent. Moi, je parle, mais eux me communiquent par les yeux.

C’est une “expédition” qui vous impressionne? / — Non, je reste le même, je ne suis pas timide.

Parler avec le Père, avec Marie, n’est-ce pas impressionnant? / — Non, parce que c’est différent d’ici-bas. Quand tu es en présence du Seigneur, tu es l’unique personne. Quand la Madone me pose ses mains sur la tête, qu’Elle me donne la bénédiction et qu’Elle me signe sur la tête, après, c’est Elle qui me fait aller de l’avant. Mais je ne vais pas de-ci de-là et je ne parle pas de moi-même. Absolument pas. Moi, je n’ai jamais rien demandé. Et je ne parle pas librement de ces choses, cela ne me plaît pas, je les garde pour moi. “Basta”.

Dans vos visions, vous avez vu des scènes du passé, Jésus avec ses disciples? /

Oui.frere-Elie-01.jpg

Quand vous lisez une page d’Evangile? / — Ah non, pas du tout. Si je fais une lecture et que je médite, il ne se passe rien. Les visions viennent à l’improviste.

Vous avez vu l’au-delà, le ciel, le purgatoire, l’enfer? / — Oui, je les ai vus. L’enfer aussi, mais je n’y suis pas allé.

Quel effet? / — Il y a des évêques, des prêtres, des papes aussi, des frères, des moines, il y a de tout. Et l’orgueil.

Ces fils de Dieu n’ont pas eu le courage de dire la vérité devant le Seigneur…

Les âmes du purgatoire vous visitent-elles pour demander des prières? /

Oui.

Vous ont-elles dit ce qu’elles vivaient là? / — Oui, mais je ne peux vous le dire.

Le Seigneur vous fait-il voir des faits importants qui vont arriver? / — Le 11 septembre 2001, j’étais à Vérone. Le matin, je m’en souviens comme si c’était aujourd’hui. Mamma Anna... me demande: «Alors frère Elie, qu’est-ce

que tu as rêvé cette nuit? » — «Ecoute, j’ai rêvé de poussière, j’ai rêvé de feu, je voulais courir pour sauver les personnes qui tombaient, qui mouraient et je ne réussissais pas à les sauver. Il y avait quelqu’un qui me retenait.

Mais des choses comme celles-là, je n’en ai jamais vu!» Elle demande: «Mais où c’était? » — «Je ne sais pas.Peut-être en Amérique, où il y a des gratte-ciel comme ça? Ou ailleurs? » Et à quinze heures, on me téléphone tout épouvanté: «Tu sais ce qui est arrivé?» — «Non». «Regarde le téléjournal. Deux tours sont tombées en

Amérique…» C’était ce que j’avais vu le matin même.

Et ces rêves prémonitoires vous arrivent-ils de temps à autre? / — Oui.

Avez-vous vu l’attentat terroriste ferroviaire en Espagne? / — Oui.

Pouvez-vous faire quelque chose alors? / — Prier. Ceux qui font la guerre n’ont pas de coeur, ils ne savent pas aimer, il faut prier. Le Seigneur m’a dit: «Jamais un homme ne fait la guerre seul. Il faut au moins deux hommes.

Alors si vous vous asseyez et que vous vous regardez en face, que vous vous parlez, vous vous levez, vous vous donnez la main et vous devenez des frères. Et tout est remis en ordre. Mais si vous vous levez et que vous vous tournez le dos, un des deux disparaîtra le premier.»

Quand vous voyez les bons anges, vous voyez aussi les mauvais? / — Oui, mais les bons anges me protègent pour une part; après ils vont au secours d’autres personnes, et quand les mauvais m’attaquent, je les prends, je me défends avec la prière, ça suffit. C’est l’unique arme que nous ayons.

Les anges vous donnent aussi des messages? / — Oui.

Avez-vous reçu un enseignement sur la façon de vivre… / — Oui. Le Seigneur m’a enseigné à savoir vivre en communauté, comment la communauté se construit au jour le jour, dans l’abandon à la Providence. Comme il disait à ses apôtres: «Ne regardez pas ce qui se voit, mais regardez ce que vous êtes en train de faire. Alors vous verrez que tout vient à son accomplissement. » Et je vois parfois que mon frère Serge a du mal à accepter, mais je l’encourage à rester en paix.

Le Seigneur vous donne de nombreux signes, comme en voiture… / — Dans tous les lieux où nous devions aller, il y avait souvent du brouillard (2), il se formait comme une caverne et on passait comme dans un tunnel, le brouillard

se levait devant nous...

Éprouvez-vous des doutes parfois? / — Non. Au début, j’avais des doutes, quand j’étais mal, dans la souffrance, et que je n’en voulais pas. Mais maintenant, non. Il m’a donné la certitude, l’amour, le pardon, Il m’a tant donné.

Chez les capucins, aviez-vous parlé à votre Père spirituel de ce qui vous arrivait? / — Non. Je disais tout, mais comment lui dire la vérité quand il m’a déclaré qu’aux choses mystiques, je ne devais pas croire? Il m’a contraint à ne pas lui en parler. Après j’ai pris un autre Père, Sergio, devenu prêtre diocésain, je me suis ouvert à lui et il est devenu mon directeur spirituel actuel.

Quel est son rôle si vous avez conseils et assistance du ciel? / — J’obéis. Si je trouvais un bienfaiteur pour payer la rénovation du couvent, je resterais au couvent. Mais, je suis un pèlerin et je dois aller dans le monde pour prêcher, c’est à cela que je dois obéir. Partout où l’on m’appelle pour avoir les prières et les bénédictions, je suis prêt, je vais parler de l’Evangile et de l’Amour de Dieu. C’est un grand besoin.benediction-de-Dieu.jpg

Donc votre mission est pour le monde entier? / — Oui.

Tous peuvent vous inviter? / — Oui. Pour cela il faut voir avec Madame Turolli (3). Je fais une prédication selon l’Evangile, à la fin de la messe, selon ce que me demande le prêtre... «Pourquoi êtes-vous venu à moi? Je suis venu pour prier avec vous. Et vous qu’attendez-vous de moi? Des prières?» Je peux voir dix ou vingt personnes à la fois et donner à chacun une parole qui donne réconfort, sans exclure personne. Toutes les personnes sont malades, toutes ont des difficultés, toutes cherchent la sérénité… Mais dans le temps du Carême, je reste au couvent, je ne peux pas rester debout, je ne suis pas bien…"

 

Notes:

(1). «Frère Elie des Apôtres de Dieu», Tome 1, p. 67-71.

(2). «Frère Elie des Apôtres de Dieu», Tome 2, p. 62-63.

(3). Fiorella Turolli, Via Roma 25,

I-25020 Torre Boldone, Bergamo, ITALIA

Tél. 00 39 33 57 5 0 32 22 aux heures de bureau. Il Y a 6 heures de décalage horaire avec nous. Midi à Montréal et 18h00 ou 6h00 p.m. en Italie.

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4 septembre 2011 7 04 /09 /septembre /2011 22:59

 

"Spiritual Singers est un documentaire sur le Gopsel.
Cette 1ère partie nous fait découvrir cette musique. Il s'agit d'une version longue comprenant 4mn15 du concert de Gospel Dream à l'église de St Germain des Prés. Une contrainte imposée par l'examen de BTS Audiovisuel nous a obligé, sur le concert de Gopsel Dream, de n'avoir qu'un seul cadreur pour 2 Caméras.
Réalisation: Laurent LUKIC Durée: 11mn27

 

Negro Spiritual & Gospel



Le negro spiritual

 

« Le negro spiritual est un type de musique vocale et sacrée née chez les esclaves noirs des Etats-Unis au XVIIè sièclequi sera à l'origine du mouvement gospel.

Le mot désigne également une oeuvre, un chant, appartenant à ce courant musical.

On peut écrire « negro-spiritual ». Au pluriel « des negro spirituals » ou « des negro-spirituals ».

Historique

L’histoire du Negro Spiritual débute avec la déportation de douze à quinze millions d’Africains par le Vieux Continent (Portugal, Espagne, Hollande, Grande-Bretagne, France, Italie, Suède et Danemark) pour le commerce. Composées d’hommes et de femmes, ces ethnies déportées sont originaires d’Afrique Occidentale. La plupart sont déjà des indésirables au sein de leurs ethnies respectives, des prisonniers des Africains mais aussi des marchands arabes. Un véritable négoce s’établit... Les premiers Negro Spirituals ou chants noirs spirituels de la révélation sont une libre interprétation des Ecritures Saintes de l'Ancien Testament.

Quelques negro spirituals célèbres

  • Swing Low, Sweet Chariot

  • Sometimes I feel like a Motherless Child

  • Nobody knows the trouble I've seen

  • Go down, Moses

  • Dem Bones

Bibliographie

  • Fleuve profond, sombre rivière : les "Negro Spirituals", commentaires et traductions de Marguerite Yourcenar, Paris, Gallimard, 1964 ; nouvelle éd. Gallimard, 1982



Le gospel

 

Le gospel est un chant religieux chrétien, protestant d'origine, qui prend la suite des negro spirituals. Il s'est développé en même temps que le blues primitif. Les artistes modernes de gospel ont aussi intégré des éléments de musique soul (soul : l'âme)

Le gospel se développa d'abord chez les afro-amércains et les blancs du sud, avant de conquérir le reste de l'Amérique et du monde.

Le Gospel est incontestablement une révolte musicale contre une Amérique raciste. C'est une expression de la souffrance des noirs récemment émancipés, mais encore sous l'autorité blanche, particulièrement dans les États du Sud ; d'où une très forte migration vers les grandes villes du Nord (Chicgo, Détroit, New York). Ces populations ne s'engagent pas politiquement même si elles restent fidèles au parti républicain, à Lincoln, leur libérateur.



Signification du mot « gospel »

Le mot Gospel signifie « évangile » : littéralement god spell, c'est-à-dire « Incantation de Dieu  ». Les Gospel Hymns sont une première étape vers les Gospel Songs de 1930. Ce sont des hymnes traditionnels et des mélodies en vogue. C'est un courant, une mutation des chants rituels protestants blancs.



Instruments de musique utilisés

Depuis les années 1870, les instruments sont de plus en plus présents aux offices : orgue, harmonium, instruments à cordes, claquements des mains et mouvements du corps.

Le début du XXe siècle voit surgir une véritable effervescence artistique pour les Noirs. Les Gospel Hymns deviennent des Gospel Songs dont les bases sont à la fois simples et sophistiquées. Mais au début de ce siècle, on ne peut pas encore véritablement parler de Gospel.

Le Gospel fait intervenir plus d'instruments, comme déjà évoqué ci-dessus, mais fait aussi plus souvent référence à Jésus-Christ et aux apôtres, c’est-à-dire aux Évangiles, contrairement aux Negro spiritual qui évoquaient plutôt des personnages de l'Ancien Testament ("Joshua fit the Battle of Jerico" ; "Go down Moses"), etc.



Les quartets

Le Gospel comporte des quartets vocaux et des chanteurs de renom (par exemple le groupe de chanteurs de gospel « Golden Gate Quartet »)

Les quartets vocaux restent le phénomène le plus populaire du Gospel. Ils sont composés de deux ténors, un baryton et une basse. Cette polyphonie à quatre parties, également appelée Male Quartet s'est largement inspirée des Barbershop Singers, qui se réunissaient dans l'échoppe du coiffeur.

L'harmonisation simple de ces quartets a la particularité de faire intervenir une voix au-dessus de la mélodie. Ces quartets vocaux sont plus spontanés, prennent plus de risque que les chœurs universitaires qui lassent à cause de leur rigueur, de leur côté conventionnel. D'où, un très grand succès.

On peut citer l'un des plus connus, le Golden Gate Quartet lors de la période de l'Entre-deux-guerres. À leurs débuts, ils se nommaient les Golden Gate Jubilee Singers et chantaient a cappella en 1934. Entre 1937 et 1943, ils enregistreront plus de cent titres dans un registre religieux mais aussi profane dans les cabarets.

Les femmes les plus importantes seront pour la plupart en relation avec Thomas A. Dorsey qui a su les mettre sur le devant de la scène. Bien que le Gospel se développe dans les années 1930, ce n'est pas avant 1945 que les femmes pourront se faire connaitre dans un registre musical très machiste.

Par ailleurs, il arrive parfois que des paroisses catholiques tiennent des liturgies adaptées à la saveur Gospel.

Quelques groupes et chanteurs de Gospel

  • Mahalia Jackson 1911-1972

  • Golden Gate Quartet

  • Thomas A. Dorsey 1899-1993

  • Sam Coole 1931-1964

  • Salomon Burke 1936-2010

  • Clara Ward 1924-1973

  • Sister Rosetta Tharpe 1915-1973

  • Marion Williams 1927-1994

  • Albertina Walker 1929-2010

  • Hank Williams1923-1953

  • Blind Boys of Alabama

  • Aretha Franklin (qui n'est pas seulement une chanteuse de Gospel)

  • Elvis Presley 1935-1977 (qui n'est pas seulement un chanteur de Gospel)

  • Liz McComb

  • Whitney Houston (qui n'est pas seulement une chanteuse de Gospel)

  • Mariah Carey (qui n'est pas seulement une chanteuse de Gospel)

  • Ray Charles 1930-2004 (qui n'est pas seulement un chanteur de Gospel) »

source : wikipedia

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