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3 octobre 2012 3 03 /10 /octobre /2012 19:11

(Deuxième partie - Suite et fin)

5 avril 1978 (Verdi-Garandieu, un prêtre, démon humain)

Exorciste: Père Ernest Fischer, ancien missionnaire, Gossau (Saint-Gall - Suisse).

Démon : Verdi-Garandieu, démon humain.

 

"Autrefois, il y avait encore beaucoup de prêtres qui veillaient à leur propre sanctification, mais, aujourd'hui, ils ont adopté la voie large et en même temps, la voie de la perdition. Si l'on ne prie pas pour eux, si des âmes pénitentes ne surgissent pas pour les défendre et leur obtenir des grâces, ils sont perdus. Cela paraît incroyable, c'est tragique, mais je suis obligé de le dire, tel que c'est.

C'est d'autant plus tragique que notre Dieu n'est pas un Dieu qui ressemble à un bonhomme de sucre. Il a créé des lois, ces lois sont éternelles. Il faut leur obéir, et les fidèles ne doivent pas écouter ceux qui, dans le clergé, préconisent le changement, parce que ce n'est pas le clergé qui fixe les lois, mais le Seigneur, et ses lois demeurent éternellement. Ce n'est pas pour rien que le Seigneur a fait remarquer dans l'Évangile qu'il vaut mieux entrer borgne dans le royaume des cieux qu'avec les deux yeux en enfer[75].

C'est en effet par le regard que, de nos jours, le prêtre se perd de plus en plus. De nos jours, les prêtres ne mortifient pas suffisamment leur regard. Ils acceptent dans leur cœur beaucoup trop d'images qui sont une gêne pour leur vie intérieure. Ça commence à la télévision et ça se poursuit dans les œuvres paroissiales, où les femmes sont maintenant en nombre. Autrefois, les femmes dans l'Église, avaient la tête couverte. De nos jours, ça ne se fait plus. Alors, pourquoi tourner l'autel devant le peuple ? Moi, Verdi-Garandieu, je disais la messe, le dos tourné au peuple, et quand même j'ai été séduit par les femmes ; les prêtres actuels, avec la messe tournée vers le peuple, ont plus de tentations que jamais.

Ce n'est pas pour rien que le Seigneur, dans l'Évangile, a dit qu'il vaut mieux entrer borgne (dans le Royaume), ou avec une seule main et un seul pied, que de pénétrer dans le terrible tourment de l'enfer avec les deux yeux, les deux mains et les deux pieds. Les prêtres croiraient-ils que l'Évangile a perdu de sa valeur aujourd'hui et qu'ils peuvent le cuisiner à leur goût ? Croiraient-ils que le Seigneur Jésus n'a parlé que pour les hommes devant lesquels il a donné son message ? A son époque, on portait les habits longs.

Il ne vient pas à l'idée des prêtres que, peut-être, Il aurait parlé plutôt pour les gens de notre époque, où la perdition se répand de plus en plus par les moyens techniques, et où personne n'est capable d'arrêter quoi que ce soit. C'est une fournaise ardente de perdition, qui ne peut pas être éteinte par la pluie d'efforts auxquels s'astreignent un certain nombre de bons prêtres qui luttent ici et là.

Le Seigneur s'adresse toujours à la liberté de chacun. Par ailleurs, la Bible est là, l'Évangile en particulier ; et aussi tous les messages qui rappellent sans arrêt les directives que le Seigneur a fixées. Si l'on se refuse à les écouter, le Ciel n'y peut rien, surtout si l'on s'amuse à accommoder l'Évangile à son propre goût.

Si l'on jette toutes ces miséricordes au vent, que peut le Ciel ? Comment la grâce pourra-t-elle agir, si l'on ne lit plus de livres saints ou de livres de saints, par exemple la vie de Catherine Emmerich, ou bien celle du Curé d'Ars, ou même celle du Padre Pio, qui a donné un grand exemple à notre époque. Chacun de ces saints ressent le même amour pour le même sacrifice, dans le même renoncement, par amour des autres. La pénitence de ces saints a été acceptée du Très-Haut.

Celui-ci serait tout à fait prêt à accepter encore d'autres  réparations, d'autres sacrifices, en vue de la conversion. Souvent, le Bon Dieu aimerait qu'on soit capable de lui dire : «J'accepte les souffrances que vous m'enverrez. Donnez-moi la grâce de les supporter, pour la conversion de celui-ci ou celui-là». Mais on constate plutôt que, lorsque le Seigneur envoie des souffrances, très souvent les chrétiens les repoussent avec horreur et de toutes leurs forces. L'homme fait trop souvent son possible pour éviter de souffrir. Ce serait aux prêtres à vivre ces façons de voir et à les prêcher aux fidèles.

Ils ne vivent pas en conformité avec le premier commandement de Dieu, tous ceux qui refusent la souffrance et ne cherchent qu'à l'éliminer. C'est se mettre en meilleure conformité avec la volonté de Dieu que de dire : «Que soit faite Sa volonté et non pas la mienne!»[76]. Cette façon de s'unir à l'agonie du Christ serait la meilleure manière d'honorer l'amour de Dieu. Si la souffrance était unie à l'acceptation de la volonté de Dieu, elle prendrait une très grande valeur[77].

Aussi lancinantes que soient certaines souffrances, à les unir à celles du Christ, elles permettent encore la sanctification et la réparation pour les péchés des autres. Je pense à toutes les souffrances qui sont quelquefois inhérentes à l'état de mariage et que l'on refuse, dans l'espérance qu'un jour, peut-être, on pourra se séparer de son partenaire; et pourtant, si elle était supportée, cette souffrance effectuerait de grandes réparations. Des milliers et des milliers de gens pourraient souffrir en pensant aux autres, et ces souffrances offertes ne seraient pas perdues.

Tout cela est complètement oublié dans votre Église catholique d'aujourd'hui. C'est très rare que l'on parle de tout cela en chaire, et c'est un fait universel. L'imitation de Jésus-Christ et le souci du salut du prochain, c'est ça qui est l'important. Le reste est secondaire, et c'est ce qui est contenu dans l'aphorisme : «Aime ton prochain comme toi-même»[78].

Si le Christ revenait parmi nous, il y aurait des milliers et des milliers de gens qui, encore, le considéreraient comme un révolté et comme un fou. Tous ceux qui s'engagent à la suite de Jésus-Christ, on les considère, de nos jours, comme des fous. Au lieu de s'élever vers le haut, on descend vers le bas ; et tant de prêtres ne prêchent plus ces vérités parce qu'elles sont, pour eux-mêmes, un reproche vivant, du fait qu'ils ne les vivent plus. S'ils pratiquaient eux-mêmes la vertu, ils pourraient demander beaucoup plus aux gens. Ce que je ne veux pas moi-même, comment puis-je penser que les autres le veuillent ?

C'est un véritable état tragique que vous vivez actuellement dans l'Église catholique. Cela va depuis les prêtres jusqu'aux Cardinaux de Rome. Si les prêtres vivaient comme le Christ et les Apôtres, ils conduiraient les âmes sur un chemin beaucoup plus éclairé et beaucoup plus sûr. Comme Saint Jean-Baptiste et Jésus l'ont prêché en leur temps, il faut se convertir et faire pénitence.

Tant de prêtres, actuellement, luttent contre l'effort et le bien, parce qu'eux-mêmes sont tournés du côté du mal. Ils sont déjà sur la route large qui conduit à l'abîme. C'est ce qu'il faudrait dire aux prêtres, en face, mais d'une manière qui respecte les voies de la psychologie et qui démontre qu'on ne cherche que leur bien. Il ne s'agit pas de leur dire qu'ils sont mauvais, mais de se servir de la psychologie[79], pour les amener, d'eux-mêmes, à faire marche arrière.

Il faut s'enquérir auprès d'eux, du moins par la bande, pour savoir s'ils ont cessé de prier ou non, et les amener à comprendre que les choses de Dieu ne s'éclairent que par la prière, de même que le souci du salut des âmes. Quant à ceux qui sont davantage capables de supporter des rebuffades, on pourrait user de celles-ci à leur égard, et, peut-être, grâce à Dieu, les ramener. Les natures sont différentes. Il faut s'adapter à ce qui nous est présenté, ainsi que le faisait le Padre Pio.

Quelques-uns parmi les prêtres sont peut-être victimes de l'ignorance, mais la plupart savent très bien dans quel état de déficience ils sont tombés; leur rappeler leur vocation serait peut-être une occasion de les ramener sur la voie droite et au Seigneur. Tous, en tout cas, dirigeraient beaucoup mieux les âmes dont ils ont à s'occuper, s'ils entraient dans la voie du renoncement[80]. C'est une grande vérité que je préfèrerais taire mais que Ceux d'En-Haut (il montre en haut) m'ordonnent de révéler et de rappeler, bien que je sois en enfer, dans lequel je ne pensais jamais tomber.

enfer

Que de souffrances à genoux je subirais, pour la défense de mon troupeau, si je pouvais revenir sur terre! J'accepterais même le martyre pour sauver mon troupeau, et plusieurs fois même. Je l'accepterais volontairement et avec la plus grande dévotion, si c'était la volonté de Ceux d'En-Haut (il montre en haut). Mon premier but serait de réaliser d'abord le premier commandement, et de chercher comment l'honorer et me rendre digne de ce commandement. Je demanderais au Bon Dieu de m'éclairer sur sa volonté sur moi.

Il y a un principe qui dit que, dans le doute, il faut choisir la voie qui coûte le plus[81]. Est-ce que les prêtres et fidèles songent à ce principe ? Ce n'est qu'un proverbe. Dieu ne l'a pas prononcé, mais il est tout à fait adapté à la situation. Des milliers de prêtres sont sur le chemin de la perdition parce qu'ils ont choisi le chemin le plus facile. Oui, ils choisissent la route de la moindre résistance. Cette façon de faire n'est pas celle qui plaît aux yeux de Dieu.

Il faut savoir, suivant l'apôtre Saint Paul, discerner entre des solutions possibles, et choisir la meilleure. Il faudra prier l'Esprit-Saint, comme l'ont déjà dit Béelzéboul, Judas et tous les autres démons, avant moi-même. Chacun doit s'efforcer de reconnaître sa propre vocation, parce que le Seigneur a un plan précis pour chacun. Déjà en grande considération devant le Seigneur, de par sa condition de prêtre, le prêtre devrait aussi se présenter devant les hommes avec une grande autorité. Il doit s'approcher des hommes et se faire estimer d'eux parce qu'il suit vraiment la voie dont il parle lui-même, qui correspond à sa vocation.

Les fidèles ont besoin de voir devant eux quelqu'un qui leur donne l'exemple, et non pas quelqu'un qui les conduise à la perdition, ou du moins qui, en dépit du fait qu'il est prêtre, vit le chemin de la perdition. Il devrait y avoir une grande distance entre un prêtre et un laïque. Le Très-Haut a toujours voulu cela, parce que le prêtre est un trésor de bénédictions. Le prêtre doit faire penser à ce grand-prêtre qu'est Jésus-Christ et, de ce fait, s'attirer la vénération des fidèles. Il doit sans se lasser, rappeler, par sa vie, quelle grande majesté représente la Divinité, et croire que nous avons le devoir de L'adorer et de L'aimer, comme Elle le demande.

C'est une chose qu'il faudrait enseigner dès la tendre enfance. Les enfants, même très jeunes, doivent être conduits dans les Églises, de telle manière que, en passant devant le Tabernacle, on les habitue à s'agenouiller avec la plus grande dévotion; qu'on les aide à adorer le Très Saint-Sacrement en prononçant des prières, comme celle-ci : «Loué, adoré soit le Très Saint-Sacrement de l'autel». Les enfants seraient alors invités, à invoquer les Saints Anges, pour qu'ils les aident à louer la Majesté divine et la grandeur de la Très Sainte Trinité, dans le plus haut des Cieux.

Que représente une Église qui n'est plus capable d'élever les cœurs vers la Très Sainte Trinité ? Que représente une Église qui ne présente plus Dieu tout à fait au-dessus des hommes, qui ne montre plus la sublimité de la Très Sainte Trinité, qui ne rappelle plus qu'il est absolument nécessaire de plaire au Tout-Puissant dans les cieux ? Si les prêtres ne le font plus, au moins les parents devraient-ils le faire à l'égard de leurs enfants. On ne doit jamais cesser de faire savoir qu'il faut adorer Dieu, même si, autour de soi, l'état des âmes est bien mauvais et bien pénible.

Dans la souffrance acceptée, il faudrait savoir remercier Dieu du triomphe qu'il saura tirer de cette difficulté pour nous. C'est à genoux qu'on devrait remercier le Seigneur des souffrances qu'il nous envoie pour nous améliorer et nous conduire sur le chemin de la vertu.Ceux qui fuient les difficultés et les souffrances sont condamnés à perdre la vertu. Il y a toujours eu dans les siècles passés, des prêtres qui ont été à la hauteur de leur vocation. Mais, de nos jours aussi, il y en a qui vivent ces mêmes conditions, des conditions très humbles ; parce qu'ils portent la paix du Seigneur dans leur cœur, ils surpassent tout sur la terre.

«Que sert à l'homme de gagner l'univers s'il vient à perdre son âme?[82]» Je dois dire, moi, Verdi-Garandieu, qu'à ce sujet, notre époque est très mal éclairée. C'est à une époque où il n'y a aucun amour pour le prochain, que l'Église s'est mise à prêcher l'amour pour le prochain, exclusivement. Le vrai amour du prochain commence par le souci de son âme, et non par le souci de son corps. N'est-il pas mieux que les hommes périssent par la peste et la guerre et toutes sortes de souffrances, et qu'en sauvant leurs âmes, ils acquièrent la gloire de Dieu ?

En outre, les hommes qui vivent dans le luxe et les plaisirs terrestres sont en grand danger de perdre leurs âmes. La charité à la mode maçonnique sent le pourri. C'est la perdition de tant d'âmes, parce que ce n'est pas l'amour du prochain en vérité, mais de l'hypocrisie. S'ils savaient (les prêtres), dans quelle perdition ils font sombrer leurs fidèles, ils s'éloigneraient de ce langage et parleraient tout à fait différemment.

C'est évident qu'il faut aider les autres matériellement, surtout s'ils souffrent beaucoup de misère, mais ce n'est pas l'affaire principale. Le principal, c'est que l'on reste fidèle à la doctrine qu'on doit défendre et qu'on ne vende pas son âme. Pratiquer l'amour du prochain, c'est amener le prochain sur la voie droite. Hélas ! des milliers de prêtres, dirigés par leurs Évêques et Cardinaux, ont imposé à l'Église cette façon de vivre la charité[83] ; ce faisant, ils ont aplati cette vertu d'une manière qui n'est pas du tout celle dont Dieu a décidé qu'elle serait.

C'est parce que le vrai amour du prochain ne se présente jamais sans le souci de l'âme du prochain, que le faire souffrir, en lui disant, en lui montrant la vérité, c'est aussi pratiquer l'amour du prochain. Plus tard, il reconnaîtra[84] que c'était, en effet, la vraie médecine.

Le prêtre, du haut de la chaire, devrait user, dans son langage, du bâton et de mots très résolus, parce que la justice existe dans l'éternité; et parce que l'enfer existe, dont ils ne parlent jamais plus, puisqu'ils n'y croient plus. Ils ne croient plus même au Ciel, dans sa suprême réalité. S'ils y croyaient, ils ne conduiraient pas dans l'erreur des milliers de gens, qu'ils devraient conduire vers le Ciel.

A quel genre de prêtres avons-nous affaire aujourd'hui ? Moi-même, je n'ai pas parlé jadis aussi platement qu'ils parlent aujourd'hui. Ils courent à la perdition et leur place dans l'enfer est déjà préparée (le démon crie cette dernière réflexion).

Mais ce que je dis là, je le dis dans la même mesure pour les Cardinaux, les Évêques, les prêtres, les laïques. S'ils connaissaient, tous ces gens-là, la situation chaotique dans laquelle ils sont engagés, ils diraient mille fois mea culpa, mille et mille fois. Ils se prendraient par le collet eux-mêmes et s’arracheraient ces vers qui sont en train de ronger leurs âmes. Ils ne cesseraient pas de les arracher, ces vers, pour les empêcher de se répandre partout. C'est avec des pinces de feu qu'ils détruiraient tous ces parasites qui opèrent tant de destructions dans les âmes. Ils pratiqueraient d'abord la première partie du commandement d'amour, et ensuite, l'amour dû au prochain.

Le vrai amour ne se manifeste pas seulement par des dons, parce que, même avec ces dons, on peut maintenir le prochain sur la route de l'enfer. Voilà ce que j'ai été obligé de dire et ce qui explique que je refusais, pendant si longtemps, de dire mon nom. Mais Ceux d'En-Haut (il montre en haut) m'ont obligé à parler parce que j'ai vécu ce destin moi-même ; parce que, moi-même, je n'ai pas exercé mon sacerdoce comme il le fallait.

Les accrocs au sixième commandement[85], je dois le dire, ainsi que le luxe[86], sont devenus les moyens de perdition de beaucoup de prêtres. S'ils reconnaissaient cette tragédie immense, ils se sacrifieraient jusqu'à la dernière goutte de leur sang. Ils auraient une immense douleur de tout ce qui s'est produit et recommenceraient tout à zéro. Ils appelleraient à leurs secours tous les Saints et les Anges, afin qu'ils les aident à retrouver le vrai chemin, parce que, dans l'éternité de l'enfer, le feu est continu, et le ver vous ronge l'âme pour toujours. Cette douleur immense, cette tragédie horrible de l'enfer, dure pour l'éternité et, moi, Garandieu, je suis obligé de dire cela."


 

[75] «Si ton œil te scandalise, arrache-le ; mieux vaut que tu entres avec un seul œil dans le royaume de Dieu que d'être jeté avec tes deux yeux dans la géhenne, où leur ver ne meurt pas et le feu ne s'éteint pas» (Marc 9,4748).

[76] «Les souffrances sont les plus grands bienfaits et les plus grandes grâces de Dieu... C'est la seule chose que les Anges nous envieraient, s'ils pouvaient nous envier quelque chose» (Son Ange gardien à Mechtilde Thaller, in les Anges, ouv. cité).

[77] «Je reconnus alors mon manque de courage et combien il était injuste pour moi de tant désirer la fin de mes souffrances» - «Je reconnus avec quelle ardeur indicible, Jésus avait désiré la souffrance, et combien une âme demeure dans l'amour de Dieu et dans sa grâce, quand elle souffre avec patience, selon la volonté de Dieu» (M. Th!l11er, id.).

[78] «Tu aimeras ton prochain comme toi-même». Commandement édicté par Dieu lui-même, déjà dans l'Ancien Testament, à travers Moïse (Uv. 19, 18) ; et encore dans le Nouveau Testament par Notre Seigneur... et cité, transmis, repris ensuite, par les évangélistes, les Apôtres, etc.

[79] Tout ce qui est naturel est au service du surnaturel. Il s'agit ici, clairement, de psychologie, et non de psychanalyse, parodie sacrilège et démoniaque du sacrement de Pénitence, véritable viol de l'âme.

[80] «Si quelqu'un veut venir à ma suite, qu'il se renie (renonce à) lui-même, qu'il prenne sa croix et qu'il Me suive» (Marc 8, 34).

[81] La voie du renoncement et du sacrifice, et non celle de la facilité.

[82] «Quel profit y a-t-il pour un homme qui a gagné le monde entier, mais s'est perdu lui-même ou s'est porté préjudice ?» (Luc 9,25).

[83] La mauvaise façon, décrite plus haut par le démon Garandieu.

[84] S'il accepte la lumière.

[85] Sixième commandement de Dieu : «Tu ne feras pas d'impureté».

[86] L'esprit de luxe, c'est-à-dire de mollesse, de facilité, de laisser-aller...

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